Défaite logique 83 - 71
Ouest-France (28/03/10)
Auch - Luçon : 83-71
Les deux premiers quart-temps permettaient aux deux équipes de mettre en place leur jeu. Le troisième quart-temps débutait sur le score de 43-38. Le jeu se posait en contre-attaque des deux côtés sans réussite au niveau des lancers. Rafaël Lopez organisant le jeu coté visiteur avec l’aide de Guillaume Bonneau mais les nombreuses tentatives de paniers à trois points échouaient.
L’équipe d’Auch reprenait petit à petit l’occupation du terrain. À mi-parcours de ce troisième quart temps, Bléneau envoyait à terre Chaleat pour se voir immédiatement contraint de quitter le terrain laissant à son adversaire l’occasion d’aggraver le score sur ses lancers francs (1). S’en suivait dans la deuxième partie un moment où se produisaient de plus en plus de fautes avec de constants arrêts de jeu. Ce quart-temps sur le score de 65-56 en faveur des Auscitains.
Le quatrième quart-temps débutait sur les chapeaux de roues avec dans la première minute 3 paniers dont deux à trois points des Auscitains Bataille et Miette, Leuly se montrant plus qu’efficace à la récupération. L’écart se creusait et le score était de 71-60 à sept minutes trente de la fin. Le jeu s’aérait alors et les équipes passaient d’un camp à l’autre avec une vitesse époustouflante.
Temps mort et intervention de l’entraîneur Auscitain Jean-Marie Pajot auprès de ses joueurs. Arrêt suivi d’une période sans panier pendant une minute rompue par une faute emmenant un lancer franc coté Auscitain.
Temps mort à quatre minutes de la fin coté Luçonnais et panier à trois points. Le jeu s’emballait à 2’28 minutes de la fin. Les deux équipes firent alors à nouveau jeu égal et Bonneau marquait sur le gong pour un score final de 83-71 pour Auch qui rejoint ainsi au classement son adversaire du jour.
AUCH - LUÇON : 83-71
AUCH : Chaleat 16, Pika 2, Roch 1, Salles 16, Batailles 14, Hue 15, Edde 10, Leuly 4, Miette, 5.
LUÇON : Bocquier 5, Bléneau 3, Pichierri 12, Bonneau 19, Grimaud 2, Lopez 14, Sadler 8, Barthélémy 8.
(1) Malheureusement, les arbitres n’ont vu, comme souvent, que la réaction et non pas l’action précédente. Chaleat n’ayant cessé depuis le début du match ses coups et provocations. (Comportement sans doute bien connu de son coach qui le sortira et ne le remettra que 2 ou 3 minutes à la fin du match !) Levas.