Les autres matches !

Sud-Ouest (22/02/10)

LA ROCHELLE - AUCH.

Face à une séduisante équipe auscitaine, les Maritimes se sont imposés dans la douleur. La lumière est venue du banc, pour une victoire « à 10 joueurs »

Rupella branché sur courant collectif

Il y a des signes qui ne trompent pas. Samedi soir, à l’heure de la douche, les chants de la victoire qui résonnaient dans les vestiaires de Rupella Basket étaient bien ceux du soulagement. Car dans une partie qui a mis longtemps avant de choisir son vainqueur, les Rochelais sont passés par beaucoup d’émotions.

C’est d’abord le froid qui a soufflé sur le public de Gaston-Neveur. « L’entame d’Auch nous a surpris. Ils ont tout de suite été en réussite et cela nous a déstabilisés », convenait, entre deux étirements d’après match, Diamory Sylla. Profitant de l’entame diesel du leader, les Gersois se détachaient nettement (4-15, 5e).

Louis Iglesias relayait la sensation de son coéquipier. « Ils ont beaucoup alterné entre défenses de zone et individuelle. Nous avons mis du temps à trouver des solutions. » Au froid du début de match succédait néanmoins une vague de chaleur conduite par les joueurs venus du banc bleu et blanc. Julien Barrat, Jérôme Zoé et Thomas Delzon ramenaient leurs partenaires à hauteur (20-19, 10e).

Jérôme Zoé, le bienfaiteur

« Toute la semaine, les joueurs sont venus d’eux-mêmes à la salle pour encadrer le stage de l’école de basket. Il y avait peut-être, chez certains, moins d’énergie qu’à l’accoutumée. Je n’ai envie de blâmer personne ce soir (samedi, NDLR). Sur un match, la hiérarchie peut bouger. C’est pour cela que je suis attaché à cette notion de groupe », indiquait, pour sa part, Grégory Thiélin, le technicien rochelais.

Dans le rôle du bienfaiteur de la soirée, Jérôme Zoé se mettait en valeur. L’ailier décryptait sa partition. « Anthony (Penuisic) était moins bien, donc j’ai essayé de le suppléer du mieux possible. Dans l’ensemble, je crois que nous avons manqué d’alternance. Nous avons trop insisté sur les prises de tirs alors qu’il fallait plus jouer avec les intérieurs qui eux, ont fait un gros match. » Habitué à des bouts de match, l’ailier rochelais prenait ses responsabilités. « Le coach m’a fait confiance. Mes partenaires m’ont donné des ballons et j’ai essayé de donner un coup de main à l’équipe. C’est vraiment à 10 joueurs que nous sommes allés chercher ce succès. »

Julien Barrat, d’un tir à 3 points puis d’une percussion dans la raquette, faisait, lui aussi, mal à la défense auscitaine. Méthodiquement, Rupella Basket se détachait (28-19, 13e). Pourtant, Auch ne se résignait pas. 5 points consécutifs de Leuly relançaient le sort de la rencontre (32-29, 17e). « Nous avons certainement manqué d’agressivité à certains moments », glissait Iglesias. En panne d’adresse, les Rochelais voyaient Auch leur passer devant (32-35, 18e). « D’avoir raté des shoots ouverts nous a crispés », reconnaissait Sylla. Avec un score de parité à la pause, tout restait encore à faire (37-37, 20e).

Quatre minutes sans point

Les deux équipes se montraient fébriles dans le troisième quart-temps. C’est sur la ligne des lancers francs (+ de 85 % de réussite) que les Maritimes gonflaient un petit matelas de points (59-48, 30e). Sauf qu’à force de rater des shoots (pas de points durant plus de quatre minutes), les Rochelais se fragilisaient (58-57, 34e).

Après avoir connu le froid et le chaud, la salle Gaston-Neveur entrait en ébullition. Thomas Delzon, d’un tir longue distance, semblait avoir réglé l’issue de la partie (70-64, 38e). Mais Auch, à son tour, revenait à une longueur (71-70, 39e). Diamory Sylla enfilait alors son habit de patron pour éteindre le dernier feu gersois. « Gagner alors que notre adresse est en berne, c’est très bon pour la suite... », lâchait Sylla, meilleur marqueur de la rencontre avec 19 points. La résistance des visiteurs était définitivement anéantie sur la ligne des lancers francs par Arnauld Thinon et Anthony Penuisic (77-72, 40e).

Auteur : Arnaud Marchais

VALENCE-CONDOM-CASTÉRA - MONT-DE-MARSAN.

Les Valenciens compromettent encore leurs chances de maintien

Le VCCRGB mal payé

Difficile d’imaginer l’abattement des joueurs, du staff et des supporters de Valence-Condom-Castéra lors du tir primé raté samedi soir par Milojica Zekovic dans la dernière seconde de jeu. Un coup de poker qui aurait permis de l’emporter d’un point. Dommage, car le VCCRGB, même s’il ne perd pas le match seulement sur cette ultime action, n’a pas à rougir de cette défaite car il a fait jeu égal avec les Montois.

Ces derniers profitant d’une certaine mansuétude de l’arbitre landais, Romain Lamarque de Monségur, ont su faire fructifier leur engagement physique. Les locaux un peu plus timorés, et pour cause, réussirent cependant à contrôler la rencontre sauf dans le money-time où l’ailier visiteur, Rémy Dossarps, les crucifia.

Une bonne entame

La rencontre qui débute sur un bon rythme voit les deux équipes se jauger (9-9, 3e). Milojica Zekovic par un tir bonifié donne l’avantage au VCCRGB et des idées à Nicolas Lasserre qui fait exploser la défense montoise qui encaisse 29 points dans le premier quart-temps. La rentrée du meneur entraîneur, Jérôme Séailles, n’est sans doute pas étrangère à cette débordante activité offensive qui permet aux Gersois de trouver de bonnes positions de shoots ou de recevoir quelques caviars comme cette passe décisive de Jérôme Séailles à Johan Desbarats (31-19, 11e). Dès lors, les visiteurs resserrent leur défense et se montrent plus agressifs sur le porteur du ballon, ce qui leur permet de chiper quelques balles qu’ils concrétisent trop facilement.

À l’évidence, le VCCRGB subit et n’arrive pas à trouver la faille dans la défense du Stade Montois, lequel alterne pour le mieux son jeu offensif avec les extérieurs Yoann Joie, Mathieu Dabadie et Rémy Dossarps et aussi les intérieurs Assane Seck, Lionel Laout et Jean-Daniel Barrouillet. Du coup Valence, trop maladroit, lâche inexorablement du lest pour atteindre la mi-temps avec 2 points d’avance seulement.

Money-time éprouvant

L’entame de la seconde mi-temps est profitable pour les locaux qui se montrent plus alerte en attaque avec notamment de bons shoots extérieurs dont ceux de Kadafi Houmadi, Sylvain Demars et Milojica Zekovic (51-42, 25e). Sentant le vent du boulet souffler et après un temps mort demandé par Michaël Lavaleur, Mont-de-Marsan resserre tous ses boulons en défense et lance sa cavalerie où Rémy Dossarps fait un malheur (55-58, 32e).

Le bras de fer est lancé entre les deux équipes qui concèdent de nombreuses égalités dont la dernière à 39 secondes de la fin du match (74-74, 39e). Et c’est ce diable de Rémy Dossarps qui, sur l’aile et sans opposition, crucifiera sans trembler le VCCRGB. Mont-de-Marsan par cette victoire peut encore envisager de jouer les playoffs tandis que Valence-Condom-Castéra compromet un peu plus ses chances de maintien.

Auteur : Jean Wiorowski

SAINT-MÉDARD-EN-JALLES - TOURS.

Les Poudriers larges vainqueurs poursuivent leur série et restent dauphins Ils sont toujours là

« Nous voulions le gagner ce match... et nous l’avons fait en respectant les consignes du coach qui nous avait demandé surtout demandé d’être sérieux en défense, ce qui n’est pas très facile pour certains basketteurs... » Avec humour, Charly Dogoum parle un peu lui-même. Le félin dribbleur qui en jouant 17 petites minutes pour mettre 18 points au Cosec contre les Tourangeaux, après en avoir mis 25 la semaine dernière à Horsarrieu, a encore enflammé le public. Comme ses coéquipiers, il a joué collectif (30 passes décisives au total) dès l’entame, tout en guettant la première faille adverse. Et la première accélération où les Poudriers, en marquant 10 points consécutifs a été la bonne. Dogum a marqué ainsi que Besse, Alonzeau et Stephens et surtout il a fait marquer puisque Cyril Marboutin a fait rentrer ses dix joueurs dans le premier quart-temps...

« En nous appuyant sur notre défense, nous avons volé des ballons, explique Dogoum, mais c’était pour mieux dérouler notre jeu derrière. » Et c’est vrai que Franck Benoît qui alignait ensuite une série de 5 points (23-9, 8e) ne laissait aux Tourangeaux pas beaucoup plus de chance qu’Alexis Rat qui concrétisait une dernière interception (29-12, 9e) à la fin du premier quart-temps où les dés étaient déjà jetés.

Dogoum en état de grâce

C’était ensuite le même Dogoum (39-20, 16e) qui accentuait l’écart dans le deuxième quart-temps suite au travail de Besse en état de grâce à 3 points (50-27, 19e) et au début des 3e et 4e quart-temps (52-31, 21e) et (72-47, 31e). Les ailiers de Saint-Médard qui jouaient juste voyaient leurs drives : Robineau (4/7 aux tirs), Besse (7/9), Benoît (8/13) et Dogoum (7/10) - faire fi des contres tourangeaux qui guettaient en vain une baisse de concentration girondine. Au contraire un magnifique tir primé de Benoît au buzzer des 24 secondes (80-57, 36e) les achevait.

« Nous travaillons la technique mais aussi le physique et le mental (avec Michel Sziro) c’est peut-être pour cela que nous sommes à nouveau en confiance », confiait Charly à quelques admirateurs venus spécialement de son ancien club de Cognac... Oui, les Poudriers, toujours dauphins derrière La Rochelle, continuent de croire aux playoffs

Auteur : Bernard Soulié

HDC - ASH.

Les Doazitiens ont su résister au retour horsarrois et remportent leur premier derby de la saison

Hagetmau-Doazit passe le premier

La manière n’était pas encore là, mais l’essentiel est acquis pour Hagetmau-Doazit, qui a remporté son premier derby landais de la saison. De bon augure avant les échéances de Coupe, malgré une fébrilité dans les derniers instants qui auraient pu coûter cher. Côté horsarrois, on regrettera l’incapacité à revenir à hauteur après un ultime sprint qui aurait donné lieu à un beau hold-up. Des deux côtés toutefois, on mettra entre parenthèses la performance des deux officiels, supervisés et donc sous pression, qui ont quelque peu perturbé le jeu par des décisions incohérentes.

Ceci étant dit, le match, qui avait rempli le complexe de Doazit, a gagné en piquant sur sa conclusion. Car jusqu’aux dernières minutes, la partie semblait promise aux locaux, plus appliqués que des visiteurs bien maladroits. En première mi-temps, il fallait toute l’agilité de Nasri et N’Diaye côté horsarrois pour rester au contact de Doazitiens décidés à provoquer des fautes, s’appuyant sur la puissante carrure de Ganmavo (9 points dans le premier quart-temps). À l’image du géant Renaud, plus adroit hors des 6,25 m que dans la peinture même, les Horsarrois pèchent dans le dernier geste. Côté HDC, à défaut d’adresse extérieure, on s’en remet à celle sur la ligne de réparation. Ainsi le premier écart (18-11 à la 10e) se trouve bonifié à la mi-temps (41-29), grâce notamment à deux jolis shoots de Bayle.

Concours de maladresses

Côté tactique, on assistera à un duel de « small-ball » de la part des techniciens Bialé et Lanave. Les intérieurs, gênés par les fautes, arrières et ailiers vont peser dans les défenses de zone et la lutte pour le rebond. Mathieu Lespiaucq, repositionné meneur (de par les absences de Bouscarel et Fauthoux) va sonner la révolte avec ses 16 points, tous inscrits en deuxième mi-temps. Avant cela, grâce à la moisson de rebonds effectuée par Petit-Charles, HDC s’était mis dans une position bien confortable au milieu du troisième quart-temps, portant l’écart jusqu’à +23, combinant la rapidité de Darrigand et la verticalité de Petit-Charles. Toutefois, grâce à quatre missiles signés Renaud, Lespiaucq et Nasri, l’ASH n’abdique pas et termine le quart-temps par un 10-0. Les 10 dernières minutes vont être un supplice pour les rouges, qui, après deux minutes équilibrées, voient leur avance fondre petit à petit, incapables de répondre à l’agressivité des joueurs de l’ASH. Le public retient son souffle, ou se fait entendre, lorsque le score arrive jusqu’à 64-62... Score qui va résister de longues minutes, les visiteurs cherchant sans succès un shoot à trois points qui tuerait le match, et HDC perdant trop de ballons pour accroître son avantage, mais voyant finalement les lancers francs arriver avec soulagement, puisque le capitaine Mansanné se chargeait de mettre son équipe à l’abri... à 13 secondes de la fin.

Auteur : Baptiste Lépine

BBM - OLORON.

En gagnant largement face aux Béarnais, les Marmandais ont sauvé leur saison

Le BBM a l’esprit tranquille

La mise en marche de ce match entre une équipe qui n’a pas encore sa garantie du maintien et les Oloronais déjà les deux pieds en Nationale 3, s’est ouverte par deux fautes provoquées et quatre lancers francs des Marmandais. Les locaux allaient-ils ne faire qu’une bouchée de leurs hôtes ? C’était en tout cas le souhait des coprésidents Serge Faux et Philippe Laperche qui avaient mis l’accent sur l’issue de ce match qu’il ne fallait pas rater.

Zagorac venait d’aligner son cinq de base et, à la lumière des options offertes par le capitaine Mauline et Bruzac, l’entame était plutôt satisfaisante (15-7 à la 4e minute). Or, chez les Pyrénéens, il n’était pas question de passer pour des sparring-partners et le public, autant que les observateurs, ont eu la confirmation que les joueurs de Tremea étaient à prendre au sérieux grâce à leur adresse à mi-distance.

Peucat à longue distance

Pelussin et Nivert sont habiles et Anies n’a pas froid aux yeux, lui qui ramène son équipe sur les talons des locaux à la 6e minute (17-16). Cette réaction ne convenait pas du tout aux circonstances et les locaux, en remettant une couche d’abord par Peucat, le spécialiste des tirs lointains, puis par Pavlavicius et enfin le duo Mauline-Bruzac qui déboussolait la défense adverse et mettait le feu à la salle de Beaupuy.

Ce même Mauline ponctuait trois actions successives par trois dunks de toute beauté, lesquels repoussaient nettement la JAO à distance. Sibetcheu enfonçait le clou juste avant la pause (38-24 à la 10e minute). A la reprise de cette seconde période, Duzan ajoutait un primé, puis le trou noir pour les Marmandais... Excès de confiance, relâchement ! Toujours est-il que les Oloronais déroulaient à leur manière face à une défense absente des débats et laissant à Chanteux (le capitaine) et Hontas en réussite le soin de combler le retard et remettre le score à zéro à la 15e minute (42-42).

Le public local était éberlué par ce scénario ; il en revenait à Pavlavicius et Bruzac de signer le même exercice à longue portée après deux minutes d’une nouvelle concentration sur l’événement (48-42 à la 7e minute), Tremea interrompait ce nouvel élan en sollicitant un temps mort. En fait, le tableau évoluait en « élastique » jusqu’à la mi-temps (58-52).

Tour de vis

La troisième période était engagée avec un surcroît de mobilisation de la part des joueurs de Zagorac qui avaient besoin de se rassurer. Le cinq de départ faisait sa réapparition et fermait les portes à double tour en profitant aussi des maladresses adverses (sauf une seule réussite à 3 points du jeune espoir Bonnelalbay) en l’espace de six minutes (71-55 à la 26e minute).

L’affaire semblait entendue au regard de la différence au tableau, mais l’habileté naturelle des Pyrénéens laissait les Marmandais en éveil ne souhaitant pas renouveler la situation vécue en début de seconde période (76-60 à la 30e).

Devoir accompli

Quelques secondes après la reprise de la quatrième et dernière période, l’excellent Pelussin abandonnait ses camarades (5e faute). Hontas, Chanteux et Anies luttaient toujours à armes égales pour répondre à Mauline et Pavlavicius ; les deux Marmandais accroissaient leur conquête sous le filet pour en finir avec les doutes bien entretenus par la JAO. 19 points d’avance entre la 32e et la 35e minute, puis 20 à la 36e... c’était le tournant du match. Les visiteurs capitulaient définitivement, abandonnant toute construction de jeu.

A contrario, les Marmandais se lâchaient dans un dédale de contres et de mouvements ciblés vers Duzan, Housieaux et Peries, tous heureux de s’offrir du temps de jeu sans crainte de décevoir et abondés de ballons par Bruzac et Sibetcheu.

Le sentiment du devoir accompli sur cette fin de match était lisible sur tous les bleu et blanc, tout autant que le fait d’avoir sauvé toute la saison.

CAHORS-GAB.

Les Garonnais confirment leur regain de forme

Le GAB sur sa lancée

Belle mais difficile victoire du GAB. Les Garonnais ont obtenu une nouvelle victoire à l’extérieur dans la douleur dans le chaudron sauzétois (80-72), se rapprochant un peu plus de la 2e place qualificative. Sébastien Boutin appréhendait ce déplacement dans la ville lotoise puisqu’il devait se passer des services de Menville, blessé et le jeune Steiner est toujours absent. D’entrée de match le GAB dicte sa loi, Lhomond à 3 points suivi de Boulefaa inflige un 9-0 au CSB, puis le joueur majeur en attaque encore lui permet au GAB de mener à la 4e (11-2).

Le CSB réagit par Ortéga et Darracq (13-9) surtout que Laulan chute deux fois dans les panneaux publicitaires et perd deux ballons importants dont le CSB profite (15-13). Darracq à 3 points donne pour la première fois un point d’avance au CSB (15-16) à la 8e, mais Laulan et Claude à 3 points sur le gong redonnent 3 points d’avance au GAB à la 10e (19-16).

Claude remarque d’entrée de deuxième 1/4 temps à 3 points, mais encaisse un 4-0 par Noubissi et Dijon (21-20), le chassé-croisé entre les deux équipes continue, le basket collectif des deux côtés régale le public présent. Lavis en métronome donne 4 points d’avance au GAB (34-30) à la 16e. Noubissi égalise à 34-34 à la 17e, les deux équipes ne veulent rien lâcher et le match est viril des deux côtés. Noubissi, encore lui, fait revenir le CSB à un point du GAB à la mi-temps (38-37).

Dans le troisième 1/4 temps, chaque équipe se rend coup pour coup, Lavis perd son sang-froid et écope d’une technique et de deux fautes et doit sortir. Le chaudron est irrespirable, Lhomond et Darracq se répondent à trois points, Porcher, par deux fois de suite à 3 points, donne quatre points d’avance au CSB à la 29e. Claude, encore à trois points, fait revenir le GAB à 30e (61-62).

Un beau combat

Dans les 10 dernières minutes, Claude, Boulefaa et Lhomond infligent de nouveau un 7-0 au CSB qui ne marquera plus pendant cinq minutes, Lavis gère bien la fin de match avec ses lancers francs réussit et Marboutin, à trois points, à 30 secondes du terme, crucifie le CSB qui rend les armes non sans honneur, les deux équipes ayant tout donné.

Auteur : Jérôme Constant

Réagir à cet article - Levas - 22 février 2010