Revue de presse de la sixième journée
Luçon - Brissac : 79-68
Une semaine après leur défaite à domicile face à Challans, les joueurs de Brissac étaient, hier soir, chez un autre Vendéen de la poule. Vendéen sur une excellente série, trois victoires consécutives dont 2 à l’extérieur, qui n’avait surtout pas envie de lever le pied. Dès le premier quart-temps, et après un départ timide (0-6), la confiance des Luçonnais était d’ailleurs visible. Quelques paniers primés et deux shoots extérieurs de Jeanville et El Kdhar, ils faisaient assez logiquement la course en tête (26-14, 14’). Pas supérieurs en taille, quatre à plus de 2 mètres de chaque côté, les joueurs du Maine-et-Loire ne l’étaient pas non plus sous les rebonds. Dans ce domaine les locaux faisaient même une bonne première mi-temps (45-35, 20’) dans une rencontre d’excellente tenue.
D’autant que dès le début de la seconde mi-temps, les visiteurs comblaient très vite leur retard (47-46, 34’). Tous les ingrédients d’un grand match étaient réunis. À l’image du 3e quart-temps où les deux équipes arrivaient encore à hausser leur niveau de jeu. Elles se rendaient coup pour coup avec tout de même un petit avantage pour les locaux dans le jeu extérieur avec les Jeanville, Baikoua et même Papiyon. Ils étaient ainsi toujours devant (58-54, 30’) mais encore loin d’avoir leur 4e succès en poche. 4 joueurs à 3 fautes d’un côté, un seul de l’autre, les Sud-Vendéens devaient aussi gérer cela. Gérer, une des forces de Laurent Hay, l’entraîneur luçonnais, qui faisait tourner ses hommes au bon moment. L’autre force, ou surprise, des Luçonnais au fil des rencontres, ce sont peut-être des joueurs capables de sortir des shoots là où personne ne les attend. Ça fait forcément très mal (79-68) même en loupant quelques lancers.
LUÇON - BRISSAC-AUBANCE : 79-68 (21-14,14-19, 13-11,21-14). Arbitres : MM. Sineau et Hamdi.
LUÇON : Delourme 2, Barakaou 3, El Kdhar 15, Baikoua 14, Papiyon 7, Retkus 18, Mindaugas 10, Jeanville 10.
B.RISSAC : Maleyran 7, Penuisic 13, Gilbert 13, Mace 7, Devanne 7, Zekovic 3, Zoric 14, Vallois 4.
Saint-léonard-Angers - Les Olonnes : 68-58
Devant un public venu en nombre - 2 100 spectateurs - l’Eosl a réussi une excellente entame. Portés par un très bon Pedja Lazic, les Angevins ont dominé les débats dans la raquette. Très agressif, le groupe d’Alexis Hervy a imposé une grosse pression défensive qui gênait considérablement leurs adversaires. Plus timorés, les Vendéens étaient également en panne d’adresse. D’où un écart assez important au sortir du premier tiers : 19-11.
Déjà privé d’Ahmed Fellah, victime d’une entorse du genou, c’est l’autre meneur Elyazid Guirrou qui va susciter les inquiétudes du clan angevin. Touché à l’épaule, il est utilisé avec parcimonie. Sa sortie conjuguée à celle de plusieurs cadres, dont Lazic, va considérablement affaiblir le jeu angevin. Pays des Olonnes n’en profite qu’à moitié, mais effectue une partie de son retard. « On était un petit peu diminué ce soir, avec Bracq et Fellah, je ne partais pas hyper confiant, souligne Alexis Hervy. Mais on a fait une bonne prestation, notamment au troisième quart-temps, on a contrôlé le rebond, ce qu’on n’a pas fait en première mi-temps. Du coup ça nous a faits du bien. » En effet, le troisième acte sera pratiquement à sens unique. Toujours emmenés par l’excellent Pedja Lazic, les Angevins refont le trou pour le plus grand plaisir du public. Comme tors de leurs deux premiers matches à domicile, ils construisent leurs succès sur une excellente prestation défensive.
Du côté du Pays des Olonnes, c’est la soupe à la grimace. Les Vendéens ont toutes les peines du monde à trouver des solutions : pas de réussite sur les rares tentatives à trois points et ils se heurtent à une grosse défense angevine dans la raquette. Le turn-over angevin se fera sentir en fin de match et permettra aux Vendéens de réduire l’écart. Mais pour espérer plus, il était déjà trop tard. Le constat de Sébastien Cartier est donc amer. « Déçu, le mot est faible. Je n’ai pas vu de match de la part de mon équipe ce soir. En première, ils ont dû faire un concours de tirs ratés et en deuxième mi-temps, il n’y avait pas d’envie. Ne pas être bon ça arrive, mais l’accepter, c’est plus embêtant. »
ANGERS EOSL - LES OLONNES 68-58 (19-11, 13-16,23-9, 13-22).
ANGERS : M’Poy 13, Chupin, Lonzième 6, Crasnier, Bracq, Guirrou 6, Lazic 23, Racon 7, Licouri 8, Meignan 5. Entraîneur : A. Hervy.
LES OLONNES : Tribodet 12, Pociukonis, E. Mourier 6, K. Mourier 3, Koffi 5, Frédéric 2, Bernage 9, Boulin 7, Boutry 4, Mc Carver 7. Entraîneur : S. Cartier
Dix dernières minutes à sens unique
N2M. Challans - USV Ré : 81•59. Cette rencontre entre voisins a vu un succès challandais construit dans les 10 dernières minutes.
Peur au ventre, coup de mou, immédiatement les’ Challandais se heurtaient sans solutions réelles à une défense très mobile et très efficace, les renvoyant à des tentatives primées sans succès (0 sur 4 après 8 minutes de jeu). Les rebonds étaient oléronais et la maladresse, vendéenne. Le VCB subissait complètement-la loi Îlienne ne trouvant que sur des temps-mort demandés par Freddy Massé (7’30 et 16’30), de sporadiques réactions. En cherchant le chemin du panier à la verticale du cercle oléronais, les Vendéens insistaient peut-être trop lourdement. Mais quoi faire d’autre, puisqu’à l’exception de Tony Ramphort (deux paniers à trois points dans le second quart), rien ne rentrait (27 % à deux points à la pause).
Et comme une provocation ou un ’message bien clair avant la lettre, Moultrie, Tisba ou Iglésias offraient systématiquement aux leurs ce petit _ ballon d’oxygène qui reflétait bien les vingt premières minutes totalement à l’actif de l’USV. La coupure était bénéfique aux Vendéens qui avaient mis un tigre dans leur moteur arrière et, qui prenaient ’brusquement, mais utilement, la maîtrise des rebonds. En resserrant leur défense, les Challandais comblaient leur retard en moins de quatre minutes (37-37, 2ft’). Mais accrochés à cette idée de victoire en terre challandaise, l’USV laissait passer l’orage alors que les Vendéens pointaient en retard à l’entame de l’ultime séquence (44-47, 30’), Une nouvelle fois, le VCB partait à la conquête de l’inverseur de poussée et semblait l’avoir trouvé puisque pour la première fois, Christophe Baufils réclamait un temps-mort (55-48, 33’). En renouant avec leurs véritables capacités défensives, les Vendéens avaient aussi renoué avec leur basket et leur adresse, La victoire fut belle mais laborieuse au terme d’un quatrième et dernier quart sans concessions.
CHALLANS - USV RÉ : 81-59 (11-14,17-18,16-15,27-11). Arbitres : MM, Huet et Buord.
CHALLANS : Dudit, Zapha 9, Geay 4, Toto N’Koté 18, Ramphort 8, Chérasse 9, Ringstrom 6, Gouacide 9, Simmons 18,
USV RÉ : Poiroux 7, Moulard 8, Iglésias 6, Aultman 8, Blanchard, Tisba 15, Tacita 3, Moultrie 12, Beuzelin.
Première victoire de la saison pour Pornic
Pornic - Lamartine. Tours : 72-66. Pornic avait plus d’un tour dans son sac pour se défaire de son adversaire.
Tout au long du match, les deux équipes ne se sont pas lâchées au score. Dans le premier quart-temps, Monpounga (8 points) répond à Laout (6 points), venu défier ses anciens coéquipiers (19-16, 8’) : La défense pornicaise semble une fois de plus assez perméable, les hommes de Lionel Ranson laissent trop de shoots ouverts qui font mouche à chaque fois (30-31,16’). Coutin, annoncé blessé, sauve les meubles avant la pause en étant le patron dans la raquette du haut de ses 2m10. L’intérieur des red’s cause-beaucoup de problèmes à la défense tourangelle. Un point sépare les deux équipes à la pause (40-39).
Pornic revient avec un nouveau visage des vestiaires, et surtout une grosse envie de défendre a l’image de François Gomez omniprésent en défense, et incisif en attaque. Le bon coaching de Lionel Ranson permet à son équipe d’avoir jusqu’à 6, points d’avance (53-47, 28’). Les hommes de Sébastien Duval bafouillent leur basket, perte de balle, shoots trop rapides, Morkeliunas manque même un panier seul sous le cercle, les red’s peuvent s’estimer heureux. Dans le dernier quart, Pornicais et Tourangeaux vont se rendre coup pour coup (55-55, 33’, puis 57-57, 35’).11 reste deux minutes. Les maritimes mènent 66-61. Un trois points plus tard et revoilà le P3L sur les talons de leur adversaire. Dans cette fin dé match palpitante, Lionel Ranson demande son dernier temps-mort pour remobiliser ses troupes. Pornic l’emportera finalement de 6 points à la plus grande joie du public et de son entraîneur : « Ce soir je suis fier de l’équipe et de notre défense, on a pris que 27 points en deuxième période, j’ai vu une équipe solidaire même si on a eu des moments moins bien défensivement. »
PORNIC - TOURS :’ 72-66 (21-17, 19-22, 13-10, 19-17). Arbitres : MM. Corroyer et Authier.
PORNIC : Ambrose 17, Monpounga 15, Coutin 15, Verdan 9, Blondet 8, J. Vachin 4, Cepulis 4. Entraîneur : Lionel Ranson.
TOURS : Crapez 13, Laout 13, Morkeliunas 9, Battiston 8, Allerme 7, Ladine 7, Mauve 6, Baykam 2, Martin 1. Entraîneur : Sébastien Duval.
UDG 71 - ELAN BEARNAIS 60 (Sud-Ouest en exclusivité !)
Englué en queue de classement suite à ses 3 défaites consécutives, l’UDG n’avait guère d’alternative pour améliorer son classement à l’heure de recevoir la réserve de l’élan Béarnais. Une victoire et les hommes de Maucouvert retrouvait une place en milieu de tableau, une défaite plongeait encore davantage les Landais dans la spirale négative. « C’était vraiment très important de l’emporter confiait Charlie Gouin sitôt sortie du vestiaire. D’abord pour relancer la machine et ne pas laisser le doute s’insinuer puis pour repartir du bon pied avant d’enchainer les prochaines rencontres. » Pour la première fois au complet depuis la 1ère journée et avec Patrick Maucouvert de retour à son poste, Dax-Gamarde ne ruinait pas ses chances dés le premier quart. Que ce soit face à Brissac ou bien Saint-Clément, l’UDG présentait après 10 minutes un déficit qui au final s’avérera insurmontable. Là, appliqués et concentrés, les Landais rivalisaient avec des visiteurs pourtant particulièrement adroits à 3 points (4 sur 8 dans ce domaine en 10 minutes dont 3 pour le seul Pinault). « On avait comme consigne de défendre la ligne de fond confiait Gouin quitte a laisser des 3 points ouverts et on est sanctionné dans ce premier quart ». Mais l’UDG ne lâche pas le morceau et guidé par ses 2 "colosses" Ganmavo et surtout Scroffernecher parvient à conserver un pécule au terme de ce quart-temps (19-18). « On prend des risques avec cette défense poursuivait le meneur Landais mais au final, ca s’avérera payant, Pau ne mettant plus ses tirs extérieurs. » Pourtant, un nouveau triple de Pinault sème l’inquiétude chez les locaux (22-30, 13ème) avant que les artilleurs locaux eux aussi ne trouvent la mire, d’abord en provocant des fautes convertis en lancers puis dans la raquette ou la clairvoyance de Kraidy par instant fait des ravages et par Entamène et Crabos à mi-distance (42-34, 20ème). La reprise s’avère difficile pour les coéquipiers de Mansanné qui encaissent un 7-0 en 3 minutes (42-41,23ème). Pinault encore lui, bien relayé par Pelos font passer des sueurs froides dans les travées Gamardaises. « C’est vrai qu’il y a eu un relâchement à la reprise confesse Gouin mais on s’accroche et on réussir a se reconcentrer sur le jeu. » Pinault a toujours la main chaude (46-48) mais Guirlé lui aussi fait valoir ses qualités d’adresse tout comme Renaud pourtant plutôt transparent jusque là (52-52, 30ème). La rencontre est toujours accrochée mais « la tactique mise en place fonctionne » souligne Gouin (0 sur 8 à 3 pts dans l’ultime quart côté Béarnais) alors que Scroffernecher semble retrouver une seconde jeunesse. L’UDG parachève son succès sur la ligne des lancers avec des réservistes Palois dans l’obligation d’arrêter le chrono en commettant bon nombre de fautes (14 lancers obtenus par les hommes de Maucouvert dans ce laps de temps).
Charlie Gouin : Qu’on joue le premier ou le dernier, il faut se donner à fond. Il n’y a aucun match facile a commencer par le prochain face à Tours qui certes vient de perdre 3 rencontres de rang mais si on aborde ce rendez-vous sans y mettre les ingrédients nécessaire, on va au devant d’une sérieuse déconvenue.
Lieu : Gamarde. Spectateurs:400.Arbitres : Mr martinez et Mme Donnez. Mi-temps:42-34.Score par quart-temps:19-18,23-16,10-18,19-8.
UDG : 23 tirs réussis sur 59 tentés dont 3 sur 14 à 3 points. 22 lancers sur 35. 19 fautes personnelles dont 1 antisportive (Gouin 11ème).
Les marqueurs : Entamène 6, Diagné 6, Crabos 9, Senghor 4, Scroffernecher 17 puis Mansanné 9, Guirlé 5, Gouin -, Gamnavo 11, Kraidy 4.
ELAN BEARNAIS : 21 tirs sur 59 tentés dont 7 sur 25 à 3 points. 11 lancers sur 15. 28 fautes personnelles dont 1 technique (Pelos 19ème). 1 joueur éliminé (Capes 40ème).
Les marqueurs : Turpin -, Rachou 3, Pinault 15, Couzigou 5, Ilardia 2 puis Capes 6, Izuel 8, Seguela 2, Pelos 13, Renaud 6.
Thierry Parnaut
Les Montois enfoncent Hagetmau-Doazit
Le Stade Montois s’impose logiquement à domicile face à HDC (79-69)
Une confrontation lando-landaise un vendredi soir à 21 heures, dans un espace François-Mitterrand investi par près de 900 amateurs de la sphère orange. Il flottait des parfums de Coupe des Landes hier soir dans l’antre du Stade Montois, théâtre du derby face à Hagetmau-Doazit en match avancé de la sixième journée de N2M.
Une affiche à fort enjeu entre des promus chalossais en proie au doute et des Montois, leaders virtuels de cette poule B. Des Stadistes, qui, à l’image de leur début de saison, prennent un départ tonitruant. Un dunk de Brown donne le ton, Mas et Joie emboîtent le pas, et dans le sillage d’un Valverde vibrionnant, créatif mais parfois trop gourmand, le Stade Montois se porte en tête en deux temps trois mouvements (8-2, 2e). En face, les hommes de Mike Lavaleur, ex-coach jaune et noir, peinent à s’approcher du cercle. Et leurs maladresses sont autant de munitions qui alimentent la boulimie offensive adverse, à l’image du rookie Romain Dunoguier. En back-up de Valverde, l’ex-Cadet France du cru va à lui seul dynamiter (13 points dont 3 tirs primés) la défense chalossaise. Les efforts de Jardry (meilleur réalisateur de la soirée avec 19 points) et de Benoît n’y changent rien. La perfection offensive (12/13 aux tirs) et les attaques éclairs des partenaires de Tajan (9 pts) qui flirtent avec le surrégime, donnent le tournis au HDC, dépassé à tous les étages (42-21, 13e). Seule ombre au tableau jaune et noir : les deux fautes handicapant les deux intérieurs, Samaké et Brown.
Conjuguées avec une défense de zone qui freine l’élan montois, leurs séjours prolongés sur le banc vont ouvrir le champ des possibles aux partenaires de Benoît, qui retrouvent enfin la baraka derrière l’arc (3/4). « Ce début quasi parfait nous a desservi en fait, indique après coup Philippe Carrère, le coach montois. Car derrière, on n’a plus mis les mains dans le cambouis. On encaisse 23 points dans le deuxième quart-temps, c’est loin de notre norme. Et on savait que c’est dans les gênes d’HDC de ne jamais rien lâcher. »
Du coup, à la mi-temps, les promus ont refait une partie de leur retard (46-37). Dès la reprise, haussant le temps en termes d’agressivité offensive et d’intensité défensive, ils rejettent les bases d’un vrai derby. Mont-de-Marsan, poussé à deux reprises au bout des 24 secondes, repart en mode diesel, quand Dossarps et Bayle appuient sur le champignon (46-41). Le retour de Brown, peu inspiré en attaque mais très dissuasif en défense, permet de stopper l’embellie des Chalossais, sanctionnés sur quasi chacun de leur ballon perdu. Mais même renvoyé à 15 longueurs (62-47), HDC n’a pas dit son dernier mot. Bayle et Dossarps sonnent la révolte en périphérie, Ribotta (8 de ses 13 pts dans le 4e QT) se met enfin en évidence sous le cercle, et en 5 minutes, les Doazitiens, qui jouent enfin juste, sont à nouveau dans le coup (67-63). En face, les Montois, dans le dur, jouent à l’envers et s’engagent dans une fin de match plus que hasardeuse. « Ce qui est intéressant, c’est que même quand on joue mal, on arrive à gagner, grâce notamment à l’apport de notre banc », soulignait Philippe Carrère. Dans un money-time haletant, les drives de Ruop et le triple de Fernandez furent de vraies bouffées d’oxygène pour les Montois, cornaqués par un Valverde ultra-clutch dans les deux dernières minutes avec 8 points et 2 passes décisives.
Mont-de-Marsan signe son troisième succès de rang confirmant son excellent début de saison, et enfoncent un peu plus Hagetmau-Doazit, englué dans la zone rouge.
Fiche technique
Stade Montois-Hagetmau-Doazit, 79-69 (quart-temps : 28-14, 18-23, 16-12, 17-20).
Stade Montois 32 tirs réussis sur 54 tentés (dont 5/14 à 3 pts). 10/18 aux lancers. 18 fautes.
Les marqueurs : Valverde 15, Dunoguier 13, Sayah 6, Tajan 14, Joie 4, Ruop 4, Brown 4, Samaké 0, Fernandez 14, Mas 5.
HDC 28 tirs réussis sur 52 tentés (dont 5/14 à 3 pts). 8/17 aux lancers. 24 fautes.
Les marqueurs : Dasse 0, Riesen 0, Bayle 11, Dossarps 9, Laffitte 3, Benoît 8, Bruyères 6, Lottin 0, Jardry 19, Ribotta 13.